[One-shot] Les Mousquetaires de l'Ombre

[billys]

Oui désolé, le jeu m’intéresse mais st ouen c'est un peu trop loin maintenant que j'ai déménagé.

[DigitalFae]

Osny ?

[Leandre]

Au pire, quelqu'un peut peut-être passer te prendre ?

[Maestel]

Ça me dérange pas si jamais ça aide

[billys]

Merci votre investissement pour ma participation à la partie. Désolé.
Alors le problème sera plutôt pour le retour.
Mais si qqn veux bien me raccompagner a Vauréal après la partie, je suis avec vous.

[Maestel]

Pas de soucis pour moi.

[Leandre]

Du coup, je valide la partie pour vendredi soir. Pour info, il reste une place.

[DigitalFae]

chez toi ?

[Leandre]

Comme vous préférez.

[DigitalFae]

chez toi, cest très bien ^^
c'était pour être sûr

[Leandre]

OK, chez moi alors.

[Leandre]

Alors, j'ai trois vaillants nobles récemment débarqués sur Paris, à la recherche de gloire et de fortune, prêts à servir le Roi :
- Le Vicomte de Givors, venu de Lyon, grand meneur d'hommes et fin bretteur

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- Le Baron de Plouven, venu de Brest, le meilleur escrimeur de Bretagne

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- le Chevalier de Brassac, venu de Castres, poète et érudit

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Ils sont attablés dans une taverne dans les faubourgs de Paris quand soudain un cri de femme retentit dans la nuit !

La suite vendredi

[billys]

Tous cela manque qu'un bon Béarnais, pays de notre regretté toi Henri !
J'aime bien Armand

[Leandre]

J'ai fait reformuler mon résumé par Gemini avec différents styles. J'aime bien celui-là :

Trois Lames Nouvelles à Paris et un Cri dans la Nuit !
Messieurs, laissez-moi vous conter l'arrivée à Paris de trois vaillants gentilshommes, tout droit venus des provinces, le cœur ardent de cette même flamme qui anime les plus braves. Ils débarquent en notre bonne ville, l'esprit vif et la main prompte, cherchant la gloire et la fortune à la pointe de l'épée, prêts à servir notre bon Roi avec un zèle infini !

Parmi eux, voici donc :

Le Vicomte de Givors, de la noble cité de Lyon, un homme de peu de taille peut-être, mais dont l'âme est celle d'un lion. Un meneur d'hommes né, au regard acéré, et dont le fleuret danse comme un serpent venimeux, promettant la victoire à chaque estoc.

Le Baron de Plouven, un colosse tout droit sorti des brumes de Brest, dont la stature imposante ne le cède en rien à sa force. C'est le meilleur escrimeur de toute la Bretagne, capable de fendre l'air d'un coup de lame, un véritable muraille de chair et d'acier.

Et enfin, le Chevalier de Brassac, venu des terres lointaines de Castres, un esprit aussi aiguisé que sa plume. Poète et érudit, il manie les mots avec la même dextérité que d'autres manient la rapière, prêt à défendre l'honneur avec l'esprit et le courage.

Ils étaient attablés dans une humble taverne, aux portes mêmes de Paris, échangeant force histoires et buvant à la santé du Roi, quand soudain... un cri ! Un hurlement déchirant, celui d'une femme en détresse, déchira le voile épais de la nuit ! Et par tous les saints, un tel affront ne saurait rester impuni sous le nez de tels gentilshommes !

Leur première aventure ne fait que commencer, n'est-ce pas ? La lame va-t-elle croiser le fer dès cette nuit ?

[Leandre]

Tous cela manque qu'un bon Béarnais, pays de notre regretté toi Henri !
J'aime bien Armand

J'ai pris le Sud-Est au lieu du Sud-Ouest... Tout le monde ne peut pas être d'Artagnan !
Mais par mon honneur, si un quatrième se présente, du Béarn il sera !